mardi 14 novembre 2017

Propolis et cancer hormono dépendant

Propolis rouge contre cancer ? Il faut ainsi être vigilant avec le curcuma pendant une chimiothérapie ou un traitement de phytothérapie. A proscrire dans le cas d’un cancer hormono - dépendant. Je respecte l’équilibre acido-basique : par exemple j’accompagne systématiquement une viande d’une bonne salade verte et de crudités.


Avec le cancer du sein hormono-dépendant, des immunostimulants naturels sont utilisés qui affectent le système immunitaire du patient.

D’autres cancers sont dépendants des hormones : le cancer de l’endomètre , le cancer de la thyroïde, ou encore les tumeurs neuroendocrines. Dossier réalisé avec le concours du Dr Pascale This, gynécologue endocrinologue à l’Institut Curie (Paris) et de Vincent Goffin, Directeur de recherche à l’Inserm (Paris). La propolis dans le traitement du cancer du sein.


Le cancer du sein est une tumeur développé aux dépends des cellules glandulaires mammaires ( adénocarcinome). Il existe différents types cellulaires de tumeur dont le plus fréquent est le cancer canalaire (environ des cas). Les cancers dans lesquels ASIATONIC se montre efficace sont en premier lieu ceux de la sphère digestive, par ordre décroissant les cancers du pancréas, de l’estomac, du rectum, du foie et de l’œsophage, etc.


Le cancer commence lorsque le code de l’ADN dans le noyau de la cellule est endommagé , dit l’immunologiste Mahmoud Suhail. Il semble que certaines huiles essentielles aient une fonction de remise à zéro.

Elles peuvent dire aux cellules ce que le code ADN correct devrait être. Hormon-like et cancer hormono-dépendant. Dans le cas de cancer hormono-dépendant, ce sont des hormones qui stimulent le développement et la croissance des tumeurs en se fixant sur ces tumeurs. Malheureusement, ces hormones favorisent donc le développement d’une tumeur. Surtout que je suis sous tamoxifene suite à un cancer hormono-dependant dépendant.


Si vous avez un cancer ER moins (pas hormono -indépendant et donc dépourvu de récepteurs aux œstrogènes), vous pouvez consommer du soja. Elle stimulerait notamment la prolifération de lignée cellulaires dont la plus connue la MCF- propre au cancer du sein. De plus, par les hormones qu’elle contient (testostérone, progestérone…), elle est à proscrire dans le cas de cancer hormono - dépendants comme celui du sein, de l’utérus ou encore de la prostate.


Par ailleurs, si vous avez un cancer hormono - dépendant , il sera compliqué de trouver quoi que ce soit pour soulager les symptômes de la ménopause car il faut agir sur les hormones manquantes, ce qui est risqué dans votre situation. Autre propriété intéressante : la propolis freine la baisse des globules blancs et rouges communément observée lors d’une chimiothérapie. Elle aide ainsi à réduire le risque de développer une infection nécessitant l’interruption de la chimiothérapie. Je suis sous traitement hormono - dépendant ( cancer du sein ). Je connaissais déjà quelques plantes à proscrire (sauge, trèfle rouge). Je vous suis donc très reconnaissante pour vos indications et vos mises en garde précises.


Je viens de recevoir un diagnostic de cancer du sein hormono dépendant : 1cm. Ménopausée depuis ans, j’ai ans.

Jamais pris d’hormone, que des suppléments naturels. J’en prends un certain nombre. Mon médecin de dit de cesser le soja, mais qu’en est-il des autres: onagre, millepertuis, vitex, sauge, mélatonine. Explications sur les erreurs à ne pas commettre en cas de maladie. Celui du pancréas n’est pas hormono - dépendant.


Les cancers de la prostate et du sein impliquent des hormones qui font partie de la même chaîne métabolique. En effet, les hormones qui favorisent le cancer du sein sont les œstrogènes et la progestérone, et le cancer de la prostate a un lien avec la testostérone et les œstrogènes. Nous conseillons également aux personnes prenant des anti-coagulants ou des médicament. Un cancer est hormonodépendant ou hormonosensible lorsque des hormones jouent un rôle dans la prolifération des cellules cancéreuses.


C’est la raison pour laquelle plusieurs s’interrogent à savoir s’ils pourraient encourager la prolifération des celllules cancéreuses après un cancer du sein hormonodépendant. J’ai lu que les huiles de lentisque pistachier ne contenaient pas toutes du viridifloral, contre indiqué en cas de cancer hormono dépendant. J’utilise celle de pranarom. Les HE sont efficaces dans le cadre des maladies d’hyperperméabilite capillaire mais hélas souvent contre indiquées dans les cancer hormono dépendant.


Depuis mon cancer du sein , je ne bois plus de lait, seulement du lait de soja bio avec mon thé, en tout env.

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